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La Cfdt, 1ère organisation syndicale interprofessionnelle française, au cœur de l’action et de la défense des salariés, est un acteur majeur du dialogue social actuel, au niveau national, mais également au niveau du groupe Apave. 

La Cfdt aux avant-postes

Depuis le début de la lutte contre la réforme des retraites, la Cfdt est leader dans les mouvements et dans les propositions faites au gouvernement afin de défendre les intérêts des salariés.

Cela permet une fois de plus à la Cfdt d’être un interlocuteur incontournable du dialogue social.

 

La Cfdt a un rôle prépondérant au sein des instances (CSE et ses commissions*) où elle représente toutes les catégories socio-professionnelles et veille à conserver sa proximité avec l’ensemble des salariés. Le CSE a pour principal objectif de faciliter la communication entre les salariés et la direction et ses représentants. La Cfdt s’y emploie pleinement et quotidiennement.

 Notre engagement est caractérisé par : 

 La place centrale de la Cfdt est notamment justifiée par un travail approfondi sur les dossiers à traiter et l'implication d’interlocuteurs compétents.

 Nous avons à cœur de garantir la véracité des informations dans nos communications, ce qui conforte notre crédibilité et fait notre réputation.

 RSE : Responsabilité Sociétale des Entreprises


Dans cette période où le changement climatique impacte la vie de tous les jours, la Cfdt s’implique pleinement dans ce concept qui concerne aussi la prise en compte des préoccupations liées au développement durable des activités des entreprises. 

La RSE consiste à intégrer les préoccupations sociales et environnementales dans les activités opérationnelles d'une entreprise et dans la stratégie de management mise en place.

* postes clés tenus par les représentants Cfdt dans la précédente mandature :

Quel est le bilan de la Cfdt pour ces 4 dernières années ?

Le projet Opéra a eu pour conséquence la dénonciation de tous les accords et usages dans l’entreprise. Les situations étaient particulièrement hétérogènes d’une entité à l’autre, ce qui compliquait considérablement les négociations étant entendu que la direction générale nous a imposé en préambule un Socle Social Commun à iso-coût.

Les négociateurs Cfdt ont pris leurs responsabilités et ont obtenu des accords globalement équilibrés, même si le plus difficile a été de limiter la casse. 

Durant cette période, les représentants Cfdt se sont assurés que les salariés continuaient à travailler en toute sécurité que ce soit chez nos clients, dans les agences ou chez eux, malgré l’absence d’accord sur le télétravail. 

La Cfdt a participé activement aux commissions SSCT ainsi qu’à la commission Ad Hoc transitoire en réalisant les visites de sites, les analyses d’accidents de travail et la surveillance des conditions de travail de tous les salariés.

La Cfdt a détecté des salariés en souffrance au travail dans le service Paie et suite à la mise en place d’Héraclès. De ce fait, elle a initié 2 droits d’alerte qui ont eu pour conséquence la mise en place de commissions d’enquête auxquelles elle participe.

L’action des représentants Cfdt dans les ASC a toujours été guidée par l’équité de traitement entre les salariés de façon à ce que les budgets disponibles soient accessibles au plus grand nombre et ne profite pas qu’à quelques privilégiés. 

Les négociations sur le télétravail n’ont malheureusement pas pu aboutir à un accord malgré un travail considérable, à cause de l’entêtement de la direction qui n’a pas voulu répondre aux revendications de la Cfdt, en particulier pour la mise en place d’une indemnité journalière.

Les représentants Cfdt défendent le pouvoir d’achat des salariés.

Les représentants ont également appelé à la mobilisation quand cela semblait judicieux pour faire changer la position de la direction.

Les élus Cfdt ont participé à diverses enquêtes (Dijon, Caen, Orléans, Bourges, Angers, …), ont fait des préconisations et assuré un suivi de celles-ci.

Mais aussi :