Suite à une succession d’incidents et d'accidents du travail, ainsi qu’à une exposition de nos collègues à des fumées et des poussières potentiellement dangereuses chez Stellantis - Charleville Mézières, un gros client de l’agence de Reims, la CFDT a déclenché une alerte de danger grave et imminent le 27 juin dernier.
Après avoir accepté que nos collègues n'interviennent plus dans les ateliers avec risque de présence d’agents chimiques dangereux (potentiellement CMR), la direction est curieusement revenue sur sa décision.
Grâce à vos 4200 signatures de la pétition de la CFDT, le premier projet de la direction générale que nous avons tous jugé inacceptable a été abandonné et le groupe de travail mobilité s’est réuni les 29 août et 4 septembre.
De ce groupe de travail, qui n’est en rien une négociation paritaire, la direction a annoncé les décisions suivantes :
Lire la suite : POLITIQUE VÉHICULES : ANALYSE DE LA SITUATION & ACTIONS
Politique véhicules : Crash test non validé par la CFDT et les salariés !!
BRAVO : VOUS L’AVEZ FAIT !
Vous avez été près de 4 200 à avoir signé la pétition de la Cfdt !!!
Votre engagement a pesé dans les décisions prises par la Direction Générale en matière de véhicule et nous vous en remercions.
Fort de votre soutien et grâce à vos très nombreuses signatures, les arguments portés par la Cfdt ont fait mouche :
- Suppression du dernier catalogue de véhicules. (Plus de prise de commande)
- Suspension de la mise en œuvre de l’évaluation de l’avantage en nature (AEN).
- Pour les mises à disposition après le 1er février 2025, maintien des loyers annoncés à la commande jusqu’à la fin du contrat.
Bonjour.
C’est une première étape importante.
Forts du très grand nombre de signatures de notre pétition réclamant la mise en place d’un groupe de travail sur la mobilité (près de 3700 signatures en moins de 2 semaines), la Cfdt a demandé à Philippe Maillard la tenue d’une réunion d’urgence du groupe de travail mobilité.
L’augmentation des loyers des véhicules, avec utilisation privée, est clairement très mal perçue et refusée par l’immense majorité des salariés concernés.