En cette période de crise, de confinement, et surtout d'incertitude, difficile d'être précis dans l'information à transmettre aux salariés.
De plus, la direction joue la schizophrénie et tient un double discours;
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aux représentants du personnel, un esprit d'ouverture et de tempérance
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aux salariés des consignes plutôt strictes dépassant le cadre légal.
Malgré nos demandes répétées, aucune note concrète n’était parue de la part de la direction, générant un flou volontaire incitant les hiérarchiques à prendre des initiatives malvenues.
La seule note récente piétine un peu plus les droits des salariés.
L'exemple des congés payés et des jours de repos en est un cas flagrant.
Actuellement, les salariés d'Apave peuvent être:
- au travail, tels le personnel informatique, le service paie, la DRH, les directeurs, des services spécifiques ou des itinérants chez des clients.
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en télétravail, à la maison, avec les outils de l'entreprise
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en congé, RTT, récup,... suite à des demandes individuelles.
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en arrêt de travail dérogatoire : personnes à risque, pour garde d'enfant ou de personne handicapée.
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en arrêt de travail pour maladie.
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en activité partielle (ou « chômage partiel » ou « chômage technique »)
Lire la suite : CRISE COVID: Pour le maintien des salaires !
Mercredi 18 mars, le gouvernement a examiné en conseil des ministres un projet de loi afin d’apporter des réponses d’urgence à la crise actuelle du coronavirus. Ce projet de loi comporte quatre parties relatives :
- au report du second tour des élections municipales ;
- à l’état d’urgence sanitaire ;
- à diverses mesures économiques, emploi et travail ;
- et enfin à la prorogation des délais concernant diverses juridictions.
Mercredi 18 mars s'est tenu un Comité Social et Économique Central extraordinaire, par visioconférence, avec comme unique sujet les conséquences du Covid-19.
Nous avons rappelé le manque d’informations claires et précises sur les consignes de la direction et sur les dispositions à prendre par les salariés face à cette pandémie.
La direction déclare actuellement 2 cas de coronavirus parmi nos collègues, mais nous avons connaissance de beaucoup plus de cas.
Le directeur Général, Ph. Maillard, a apporté les informations suivantes:
- Arrêt de toutes les prestations chez les clients, sauf réquisition des autorités (nucléaire ou test EPI par exemple)
Lire la suite : Coronavirus : La direction a finalement tranché.
Coronavirus : nouvelle procédure d'arrêt de travail pour les parents d'enfants maintenus au domicile
Alors que des mesures de maintien à domicile vis-à-vis des enfants ont été prises dans plusieurs communes situées en zones « cluster » pour limiter la propagation du coronavirus, les pouvoirs publics ont simplifié la procédure qui permet de placer en arrêt de travail, lorsqu'il n'y a pas d'autre choix, les parents qui sont contraints de rester avec eux. Il suffit désormais d'une déclaration de l'employeur, sans passer par l'Agence régionale de santé.
Rappel
Suite à l'identification de foyers de circulation du virus (parfois appelés zones « cluster »), des parents sont contraints de rester à leur domicile pour garder un enfant suite à des décisions de fermetures de crèches ou d'établissements scolaires, ou parce qu'il a été demandé à l'enfant de rester au domicile.
Jusqu'à maintenant, un salarié contraint de garder un enfant ayant fait l'objet d'une demande de respect de période d'isolement pouvait bénéficier d'un arrêt de travail en prenant contact avec l'Agence régionale de santé (ARS) pour se faire délivrer un arrêt de travail par un médecin habilité par celle-ci (« Covid-19 », 28 février 2020, Q/R 16 ; circ. CNAM 2020-9 du 19 février 2020).
Pour mémoire, cet arrêt de travail ouvre droit aux IJSS maladie sans délai de carence (décret 2020-73 du 31 janvier 2020) et, le cas échéant, à l'indemnisation complémentaire à charge de l'employeur (maintien de salaire du code du travail ou conventionnel).
Après plus de deux ans de négociation, un texte d’Accord National Interprofessionnel sur la fonction d‘encadrement est à signature.
Dans cette négociation, la CFDT avait une ambition : moderniser enfin la fonction d’encadrement alors que les textes paritaires les plus récents dataient de 1947 et 1983 ! Pour la CFDT il était donc impératif de reconnaitre la fonction d’encadrement plutôt que le statut. Les cadres ne peuvent plus aujourd’hui être réduits à un système de protection sociale. Il est donc nécessaire de reconnaitre les spécificités de l’exercice de leur travail en leur offrant des droits et garanties ancrés dans leurs réalités professionnelles.
Pour la CFDT, un cadre doit être défini en 2020 par ce qu’il fait.
Lire la suite : La CFDT s’engage pour une vision moderne de l’encadrement
- Remerciements
- Résultat des élections
- Fonctionnement du CSE
- Un nouveau directeur général
- Le CSE des APAVE: une misère sociale
- Temps de travail: le déclaratif horaire 2020 est sorti !
- Convention collective Syntec
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